Tout Allait Bien… Jusqu’à Cette Nuit-Là | L’Histoire Vraie D’Une Jeune Mariée

Et si la personne que vous aimiez cachait un secret si profond qu’il pouvait vous détruire ? Evelyine pensait avoir trouvé l’amour, la stabilité, un avenir. Mais la nuit de son mariage, une simple blague allait devenir une porte vers l’invisible. Quand la prière devient une guerre, quand la foi déclenche des cris venus d’ailleurs, que faire ? Fuir, se taire ou combattre ? Ce que vous allez entendre est plus qu’une histoire.

 C’est un affrontement entre la lumière et les ténèbres, entre une femme enceinte et un esprit ancien. Restez jusqu’à la fin. Chaque minute vous rapprochera d’une vérité dérangeante. Parfois, le danger ne vient pas de l’extérieur, mais de celui qui dort à vos côtés. Si vous aimez les histoires fortes, mystérieuses et intenses, abonnez-vous et aimez la page.

 Chaque clic nous rapproche et ce n’est que le début. Evveline se tenait devant le miroir, lissant le tissu soyeux de sa robe de mariée. Son cœur battait la chamade non seulement de joie, mais aussi à cause du mystère silencieux qu’était Martins, son nouveau mari. Il était doux, respectueux, intelligent. Sa présence calme apaisait son feu intérieur.

 Tout le monde enviait leur connexion. Pendant le toast du mariage, Martin fit rire toute l’assemblée en disant : “Une seule règle pour ma magnifique épouse ne pris jamais à voix haute à minuit.” Des éclats de rire remplissaient la salle et Evelyine rit aussi, pensant que c’était l’une de ses blagues habituelles. Mais cette nuit-là, alors qu’ils étaient couchés, Evelyine se tourna vers lui et demanda : “Pourquoi as-tu pendant le mariage ?” Martins sourit doucement, le regard lointain.

 C’est juste une vieille superstition familiale. Les prières de minuit attirent des énergies inutiles. Evelyine gloussa. Tu sais que je suis une femme de prière. Minuit est le meilleur moment pour combattre dans l’esprit. Il lui embrassa le front avec tendresse. Alors fais-le dans ton cœur chérie, s’il te plaît. Les jours passèrent puis des semaines et Evelyine commença à remarquer un schéma.

 Chaque fois qu’elle essayait de prier à minuit, quelque chose de bizarre se produisait. La première fois, Martin l’avait soudain la tiré contre lui, l’embrassant passionnément en murmurant : “Prions avec amour plutôt.” Elle avait riémit de douleur, prétendant que son estomac se tordit. Evelyine paniqua et oublia complètement sa prière.

 Une autre nuit, alors qu’elle s’agenouillait pour prier, elle entendit un bruit survenant de la cuisine. En descendant en courant, elle ne trouva rien, seulement Martins dans le couloir, altant, la chemise trempée de sueur. “Chérie, qu’est-ce qui se passe ?” demanda-t-elle en tremblant. Il la fixa.

 “Eveline, je t’en prie, arrête ! Je t’avais prévenu, mais son esprit ne pouvait pas se calmer. Son ami Esther lui rendit visite un weekend. Eveline lui raconta tout. Esther, c’est comme si quelque chose m’arrêtait à chaque fois. Je me sens bloqué. Esther plissa les yeux. Est-ce que Martin prie avec toi ? Non, répondit Evveline en fronçant les sourcils.

 Il dit qu’il prie en silence. Eveline, dit Esther d’une voix grave. Cet homme n’est peut-être pas celui que tu crois. Evelyine rit nerveusement. Allons Esther, il est juste réservé. Réservé ou il cache quelque chose ? Demanda Esther en serrant sa main. Fais attention. Evelyine écarta ses pensées. Elle ne voulait pas douter de son mari, mais le malaise grandissait.

 Un soir, Martins partit en déplacement professionnel. Seule, Evelyine alluma une bougie et s’agenouilla dans le salon. Minuit sonna. Elle commença à prier. Doucement, d’abord, puis plus fort, sa voix s’élevant alors qu’elle parlait en langue. Un vent glacial traversa brusquement la pièce. La flamme de la bougie vacilla violemment.

 Puis elle l’entendit, le cri de Martins. Elle courut dans la chambre. Il était là, recroquvillé au sol, la chemise trempée de sueur, les mains sur la poitrine. Du sang coulait de son nez, ses yeux étaient révulsés. Martins ! cria-t-elle Jésus Martins ! Elle attrapa son téléphone et appela une ambulance. Ses mains tremblaient alors qu’elle serrait le corps tremblant de son mari.

À l’hôpital, les médecins firent test sur test. Il n’a rien dit finalement le médecin. Ses constantes sont stables. Tous les examens sont normaux. Eveline le fixa sans voix. Comment est-ce possible ? Il s’est effondré. Il saignait. Le médecin haussa les épaules. Parfois l’esprit nous joue des tours.

 Était-il stressé ? De retour à la maison, Martin restait silencieux. Il évitait son regard. Parle-moi, le supplia. Que s’est-il passé ? Il était allongé, les yeux fermés. Tu as enfrein la règle Martin ? Ce n’est qu’une prière. Non, murmura-t-il. Ce n’est pas juste ça. Le lendemain, Evelyine appela Esther.

 J’ai prié et il a failli mourir, dit-elle. La voix tremblante. Esther poussa un cri. Je le savais. Evelyine, il se passe quelque chose de spirituel. Tu dois être prudente. Cette nuit-là, Evelyine ne trouva pas le sommeil. Son esprit brûlait de question. Quelques jours plus tard, elle tenta à nouveau. Cette fois, alors qu’elle commençait à prier à minuit, une ombre glissa sous le lit.

Son cœur se figea. Elle chercha l’interrupteur. Boum ! L’ampoule explosa, projetant du verre dans toute la pièce. L’obscurité l’engloutit. Elle poussa un cri. Martine sacourut, pâ et tremblant. “Que as-tu fait ?” grond, d’une voix grave, presque méconnaissable. Evveline recula. J’ai prié. J’ai fait ce que j’ai parfaitement le droit de faire.

Je t’ai prévenu, hurla-t-il. Si tu m’aimes, arrête cette folie avant qu’elle ne me tue. Elle le fixa, le cœur battant. Que caches-tu, Martins ? Il détourna le regard. Altan : “Ne me force pas à choisir entre la vie et toi.” Elle resta figée. Plus tard, dans la nuit, son téléphone sonna. C’était sa mère. Eveline, sanglota mama, j’ai fait un rêve.

 Tu te noyais dans une rivière de serpent. Il y avait du feu tout autour de toi. Arrête de prier. Arrête. Maman, ce n’est qu’un rêve, dit Evelyine en tremblant. Non, écoute-moi. Quelque chose ne va pas dans cette maison. Prie seulement dans ton cœur, je t’en supplie. Mais Éveline ne pouvait plus s’arrêter. Elle devait connaître la vérité. Elle devait se battre.

 Minuit arriva, elle s’agenouilla à nouveau, les mains levées, les larmes aux yeux. “Père, révèle ce qui est caché”, murmura-t-elle. Puis elle se mit à parler en langue. Soudain, sa bouche brûla comme du feu. Elle porta ses mains à ses lèvres, puis elle l’entendit. Un sifflement aigu. Ce n’était pas dehors ni à la fenêtre. Cela venait de Martins.

Elle se retourna lentement et le vit debout dans l’embrasure de la porte. Ses yeux étaient d’un noir absolu. Un sifflement faible s’échappait de ses lèvres tandis que son corps vibrait d’une force impie. Evelyine se réveilla en sursaut, le cœur battant comme des tambours de guerre. L’air dans la pièce était lourd, presque humide.

 Un silence étrange enveloppait tout. Elle se tourna vers Martins. Il ne bougeait pas. Martins murmura-telle. Pas de réponse. Ses yeux s’écarquillèrent d’inquiétude. Elle se pencha et toucha sa poitrine, puis retira brusquement la main en poussant un cri. Sa peau était brûlante comme si elle avait touché du feu.

 Des larmes lui montèrent aux yeux. Jésus, s’il te plaît, non. Elle attrapa son épaule et le secoua. Martins, réveille-toi. Soudain, son corps se contracta violemment et il aspira une grande bouffée d’air. Ses yeux s’ouvrirent d’un coup, brillant brièvement d’un jaune terrifiant. Eveline recula paniqué. Il s’assit, cligna des yeux rapidement puis s’essuya le front comme si de rien n’était.

 “Que s’est-il passé ?” demanda-t-elle en tremblant. Martin sembla confus. Je je ne sais pas. J’ai juste perdu connaissance. Ta peau brûlait. Tes yeux, murmura-elle. De quoi tu parles ? Répliqua il sèchement. Je vais bien. Non, tu ne vas pas bien. Quelque chose ne tourne pas rond. Martins. Et je vais découvrir ce que c’est.

 Elle quitta la maison avant qu’il puisse la retenir. Evelyine se précipita à l’église. Elle n’appela pas. Elle n’attendit pas le culte. Elle avait besoin de réponse. Son pasteur, un homme doux et perspicace nommé pasteur Dick, l’accueillit dans son bureau. Elle déversa tout. La prière interdite à minuit, les réactions violentes de Martins, le sifflement, la peau brûlante.

 Pasteur Dick écouta en silence, les yeux fermés, les mains jointes. Quand elle eut terminé, le silence s’installa. Puis il ouvrit les yeux et parla doucement. Tu as épousé un enfant serpent. Le sang d’Eveline se glaça. Quoi ? Tes prières sont en train de brûler les écailles de son corps. Il lutte contre ce que tu réveilles.

 Si tu complètes 21 nuits de feu, il mourra ou sera délivré. Elle eut du mal à respirer. Mourir pasteur dit coche la tête. Oui. Mais soit averti, les siens ne meurent jamais en silence. Evveline rentra bouleversé mais déterminée. Cette nuit-là, elle s’agenouilla à nouveau à minuit. Elle commença à prier. Dès que ses lèvres s’ouvrirent, un vent hurla dans la maison.

 La lumière de la cuisine clignota. Un grand fracas retentit. Elle courut à la cuisine. Trois lézards glissèrent sur le comptoir, sifflant. L’un d’eux s’arrêta et la fixa, ses yeux presque humains. Elle l’écrasa avec un balai, criant dans l’esprit. La nuit suivante, du sang dégoulinait des murs de la salle de bain. Eveline le fixa horrifié, la bouche sèche.

 Elle essuya avec un chiffon, mais d’autres traînés apparurent, formant des mots qu’elle ne comprenait pas. La 4ème nuit, elle descendit et trouva un serpent, un mamb noir adulte enroulé sur le canapé. Il leva la tête, siffla et prononça son nom. Eveline ! Elle hurla, saisit une bouteille d’huile d’onction et la versa sur le serpent.

 Il disparut dans un nuage de fumée noire. En se retournant, elle vit Martin sur les escaliers. Le visage lit vide. “Tu provoques quelque chose que tu ne comprends pas”, dit-il. “Je comprends plus que tu ne le penses”, répondit-elle en serrant sa Bible. Martins s’affaiblissait chaque jour. Sa peau perdait sa couleur.

 Il parlait à peine. Il ne mangeait plus avec elle. Il fuyait son regard. Mais la 9e nuit, Evelyine faillit mourir. Elle allait boire une tasse de thé quand quelque chose lui dit de s’arrêter. Elle la sentit amertume. Elle la renversa et vit des poudres de somnifère en train de se dissoudre au fond. Elle le confronta.

 Tu as essayé de m’endormir de force ? Martins ne répondit pas. Pourquoi tu me fais ça ? Cria-t-elle. Tu n’étais pas censé prier. Tu étais censé m’aimer et obéir. De nuit plus tard, Evelyine commença à vomir une substance noire, épaisse, collante, nausé à bonde. Elle rappela pasteur Dick. Il vint avec une équipe de prière.

 Ils prièrent pendant des heures. Le liquide noir cessa. Après, il s’assit à ses côtés et lui prit la main. Tu dois savoir la vérité, dit-il. Martins n’est pas né comme les autres enfants. Evelyine porta la main à sa bouche. Sa famille l’a offert à un esprit marin. Il a été enfanté dans un sanctuaire. Sa mission sur terre, revendiquer une femme pure.

 Son ventre, son âme, son avenir. Il a été envoyé pour t’enchaîner. Le cœur d’Eveline se brisa. Pourquoi moi ? Murmura-t-elle. Parce que tu portes la lumière, répondit le pasteur. Et les ténèbres cherchent toujours à éteindre ce qui brille. Evveline fondit en larme. Puis elle se souvint de quelque chose. Son retard de règle, le test qu’elle n’avait pas encore fait.

 Elle courut à la pharmacie, acheta un test et l’utilisa dans les toilettes de l’église. Deux lignes roses. Elle était enceinte. “Non, non, non, non !” murmura-telle, les genoux fléchissant. Cette nuit-là, elle ne pleura pas. Elle ne pria pas. Elle fixa le plafond, les mains sur son ventre. “Seigneur, que dois-je faire ?” chuchotelle. Minuit sonna.

 Elle se rendit au salon, s’agenouilla et éleva de nouveau la voix en langue. Alors qu’elle priait, elle entendit des pas. Martin se tenait dans l’embrasure. Torse nu. Sa voix trembla. son torse, il cintillait sous la lumière de la lune et pour la première fois, elle le vit. Des écailles fine mais bien réelle, descendant de sa clavicule jusqu’à son ventre. Il s’avança.

 “Si tu prononces un seul mot de plus cette nuit”, dit-il froidement. “Ce ne sera pas pour moi que tu prieras.” Sa voix se fit plus grave, presque un sifflement. “Ce sera pour ton enterrement.” Evveline ne dormit pas. Elle ne le pouvait pas. Ses yeux restaient fixés sur l’horloge alors que minuit approchait.

 L’air dans la maison semblait plus lourd que d’habitude, chargé de quelque chose d’invisible. Elle repensa à la menace de Martins. Ce sera ton enterrement. Elle repensa aux écailles qui se formaient sur sa poitrine, à son enfant à naître, grandissant en elle, à la substance noire qu’elle avait vomi, à l’avertissement du pasteur Dick.

 et elle prit une décision. Elle n’allait pas s’arrêter. L’horloge sonna minuit. Eveline tomba à genoux. La Bible dans une main, l’huile d’onction dans l’autre. Père, au nom de Jésus, commence à telle, la voix montant. Je viens contre tout esprit impur dans cette maison. Je réclame ton feu. Alors qu’elle priait, un vent hurla violemment.

 Les rideaux claquaient comme des voiles. Le sol tremblait sous elle. Soudain, les fenêtres explosèrent. Des éclats de verre tombèrent au sol comme des diamants. Un rugissement assourdissant raisonna dans toute la maison. Martine surla depuis l’étage un cri inhumain, douloureux, animal, terrifiant. Elle se précipita vers le bruit. Martins flottait dans les airs.

Son corps se tordait de manière anormale. Ses veines brillaient sous sa peau. Arrête ! rugit-il mais ce n’était pas sa voix. Puis Evelyine le vit. Sa vision se troubla alors que la pièce se déformait et devant elle apparut un serpent monstrueux aussi grand que le plafond enroulé et deux avec le visage de Martins. Ses yeux brillaient.

 Il parla. “Tu as du pouvoir”, si flattait ilors propose un marché. Eveline se ficha. Laisse-moi vivre dans l’enfant, épargne Martins. Il sera libre. Mais si tu me brûles encore, je partirai et j’emporterai ton enfant avec moi. Des larmes roulèrent sur les joues d’Eveline. Sa main se posa instinctivement sur son ventre.

“Pourqui, mon enfant ?” murmura-t-elle. “Parce qu’il est le réceptacle. Tu es la porte. L’enfant est le prix.” La pièce trembla. Elle tomba à genoux en sanglot. Le serpent s’approcha rampant. Dis oui, Éveline, sauve-les tous les deux. C’est un petit prix pour la paix. Soudain, la voix du pasteur Dick raisonna dans son esprit.

 Tu ne peux pas élever un enfant démoniaque. Tu dois choisir ta prière ou ta paix. Eveline se releva tremblante. Je choisis Dieu chuchota elle. Le serpent siffla. Je choisis le feu ! Cria-t-elle. Alors, elle pria comme jamais auparavant. Les murs s’embrasèrent s’en brûler. Le plafond se fissura. L’air devint chaleur pure.

Martins poussa un cri surnaturel. Son corps l’évita, tourna sur lui-même. Les flammes l’engloutirent, mais continua de prier. Tout esprit marin dehors, hurla. Le serpent hurla alors que son corps craquait, se brisait. De la fumée sortait de la bouche de Martins. Dans une dernière explosion de feu, l’esprit se réduisit en cendre.

 Martins s’écrasa au sol, inconscient. Puis le silence, elle courut vers lui. Il respirait. Elle pleura les mains tremblantes. Il ouvrit lentement les yeux. “Normaux, sans éclat. Eveline”, murmura-til. Elle hoa la tête, trop submergée pour parler. Il éclata en sanglot. “J’ai tout vu.” “Oh mon dieu, qu’est-ce que j’étais ? Tu étais lié !” répondit-elle doucement.

 “Mais maintenant, tu es libre.” Les semaines passèrent, la maison fut bénie. Des prières retentissaient dans chaque pièce. Martin se jeûait. Il pleurait souvent. Il remerciait Dieu pour Evelyine chaque jour. Puis le bébé arriva. Après des heures de travail, Evelyine donna naissance à une magnifique petite fille.

 Elle est parfaite, dit l’infirmière en souriant. Des larmes roulèrent sur les joues d’Eveline alors qu’elle tendait les bras vers sa fille. Mais au moment où l’infirmière la lui tendit, Evelyine se figea. Le bébé cligna des yeux une fois, deux fois, verticalement comme un serpent. Evveline eut un hoquet de stupeur. Martin regarda aussi.

 Leur regards se croisèrent. Le bébé pleura doucement, innocemment. Evelyine la serra contre elle, murmurant entre des lèvres tremblantes. Seigneur, je mis au monde ? Mais elle croyait de tout cœur avoir sauvé son mari et rien ni personne n’allait réclamer son bébé. Pensez-vous qu’Eveline a fait le bon choix ? Ce pourrait-il que l’enfant porte encore l’esprit ? Martines et Evelyine devraient-ils l’élever eux-mêmes ou demander de l’aide ? Et vous, que feriez-vous si votre nouveau nez clignait des yeux comme un serpent ?

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