Toute femme qui couchait avec lui mourait au bout de 3 jours…
Lumumba cité était une ville qui ne dormait jamais. Les claxons des taxis, les cris des vendeuses de beignet au coin des rues, les haut-parleurs des boutiques qui diffusaient de la musique jusqu’au petit matin. Dans cette agitation vivait Julien Mavinga, un jeune diplômé de 26 ans qui rêvait simplement d’une vie meilleure.
Après 4 années d’études difficiles, à survivre grâce à des petits boulots et à la générosité de sa mère restée au village, il pensait qu’un diplôme en gestion ouvrirait toutes les portes. Mais la réalité fut brutale. Les entreprises refusaient systématiquement son CV. Désolé, nous recherchons quelqu’un avec plus d’expérience. Le poste est déjà pourvu.
Revenez une autre fois. 8 long mois passèrent ainsi. 8 mois de déception, de marches sous le soleil, de chaussures usées. Il mangeait une fois par jour, parfois pas du tout. Ses économies fondaient et son espoir aussi. Mais ce matin-là, Julien avait décidé que sa vie changerait. Il avait repassé sa chemise, poli ses chaussures et imprimé un dernier CV.

Son intuition le poussa vers un immense immeuble de verre, m sa corporation, une entreprise réputée pour sa richesse et ses salaires mis au bolant. Après avoir déposé son CV à la réception, Julien s’apprêtait à partir lorsque la secrétaire l’appela brusquement. Monsieur Mavinga, le directeur général demande à vous voir maintenant.
Son cœur bondit dans sa poitrine. Lui, un simple candidat sans expérience. Pourquoi le directeur voudrait-il le voir ? Il fut conduit dans un vaste bureau climatisé, décoré de tableaux modernes et d’un gigantesque aquarium. Au centre, derrière un bureau en bois précieux, se tenait monsieur Quaku, un homme aux yeux froids dont la réputation dans la ville aussi entre admiration et crainte.
Après avoir longuement observé Julien, il déclara d’une voix profonde. Vous êtes brillant, je peux le voir, beaucoup trop brillant pour rester pauvre. Julien resta silencieux, déstabilisé par ce compliment inattendu. Je peux vous offrir un poste, un très bon poste. Voiture de fonction, salaire qui dépasse vos rêves, logement payés, tout.
Mais rien n’est gratuit dans cette ville. Julien sentit un frisson lui parcourir la colonne vertébrale. Je vais vous proposer un pacte Julien. Impact qui vous donnera tout ce que vous désirez. Mais en retour vous devrez respecter une règle simple. Le directeur se leva, contourna le bureau et s’approcha si près que Julien pouvait sentir son parfum boisé.
Ne tombe jamais amoureux et sache que toutes les femmes avec qui tu coucheras mourront dans les trois jours. Julien sentit le sol vacillé sous ses pieds. Ce n’est pas possible. Vous plaisantez ? Rien ici n’est une plaisanterie. Réfléchis bien. Tu galères depuis presque un an. Ta mère attend ton soutien. Tu mérites une vie meilleure.
Mais chaque bénédiction a son prix. Tu acceptes ou tu retournes dans la misère. Julien hésita. Il pensa à son ventre vide, à sa mère qui se privait pour lui envoyer de l’argent, à son loyer impayé, à ses rêves brisés. L’offre était diabolique mais irrésistible. En tremblant, il hocha la tête. Le directeur sourit.
Un sourire étrange, trop large pour être humain. Bienvenue chez Mansa Corporation. Tu viens de signer le pacte, celui qui fait des rois ou des danés. Ce jour-là, Julien pensa avoir gagné la bataille de sa vie. Il ignorait qu’il venait d’ouvrir la porte à un destin où la richesse avait le goût du sang et où chaque nuit pouvait devenir un compte à rebour mortel.
La vie de Julien avait changé du jour au lendemain. Le pacte signé avec monsieur Quakule avait propulsé dans un monde qu’il n’avait jamais osé imaginer. Appartement luxueux avec vue sur Lumumba cité, voiture flambuve, salaire qui dépassait tout ce dont il avait rêvé. Mais dans l’ombre de cette réussite se cachait un secret macabre.
Après le pacte, il avait essayé de rester prudent. Il avait refusé les avances de certaines femmes, s’étaient isolé, tentant de respecter la règle, mais son succès et sa beauté attiraient une foule de jeunes admiratrices. Un soir, après un événement d’entreprise, il s’éda puis une deuxième fois, puis une troisième.
Et à chaque fois trois jours plus tard, la même nouvelle tombait. Un accident étrange, une crise cardiaque soudaine, une maladie fulgurante. Les femmes mouraient toujours 3 jours après, Julien vivait dans la peur, les mains tremblantes à chaque nouveau message, mais incapable de revenir en arrière.

Le pacte semblait vivant et monsieur Quaku, avec son sourire inquiétant surveillait tout. Un vendredi soir, durant une soirée caritative organisée par la Mansa Corporation, Julien croisa une jeune femme qui ne ressemblait à aucune autre, Sonia Kanza. Elle portait une robe rouge simple mais éclatante et son rire traversait la salle comme une vague de chaleur.
Contrairement aux autres invités, elle ne semblait pas impressionnée par les riches ni par les puissants. Elle dansait simplement, sans chercher à plaire. Julien fut immédiatement attiré par cette énergie. Quand leur regards se croisèrent, il sentit un coup au cœur vrai, violent, incontrôlable. Cette sensation, il ne l’avait pas ressenti depuis des années.
Tu me fixes depuis 5 minutes. Je commence à croire que tu veux me dire quelque chose, lança-t-elle avec un sourire malicieux. Julien éclata de rire malgré lui. Il parlèrent toute la soirée. Elle avait ans, étudiante en communication, faitard assumé, rebelle à ses heures mais doté d’un grand cœur. Elle mentionna aussi son père. C’est un pasteur très strict.
Il prie pour moi matin, midi et soir parce qu’il pense que je suis entouré de mauvaise influence. Je n’écoute jamais mais bon. Julien sentit un frisson. Il connaissait bien les forces invisibles depuis son pacte, mais il ne dit rien. La relation entre eux se développa vite, trop vite. Julien tenta de résister, de mettre de la distance, mais il en était incapable.
Chaque message de Sonia lui réchauffait le cœur. Chaque rendez-vous les rapprochait un peu plus. Un soir, alors qu’il marchait au bord de la plage de Wally, elle prit sa main. Tu m’évites depuis quelques jours ? J’ai fait quelque chose. Julien secoua la tête, incapable de parler. Tu as peur de quoi, Julien ? D’aimer.
Ces mots brisèrent sa dernière défense. Ils s’embrassèrent et cette nuit-là, il brisa complètement le pacte. Julien ne dormit presque pas. Il connaissait le déroulement. Jour 1, Sonia était rayonnante. Jour 2, elle dansait, riait comme si la vie n’était qu’une fête. Jour 3, Julien tremblait en silence, vérifiant son téléphone toutes les 5 minutes.
Et puis ça arriva. Le soir du troisième jour, Sonia s’effondra en pleine rue. Transportée à l’hôpital, elle était dans un état critique. Fièvre brûlante, convulsion, respiration altante. Les médecins n’arrivaient pas à poser de diagnostic. Son père, le pasteur Kanza, apparut à l’hôpital, une Bible à la main, le regard rempli d’une détermination inhabituelle.
Je savais que quelque chose essayait de l’apprendre. Je le savais. Julien en larme se jeta à genou devant lui. C’est ma faute, je j’ai fait un pact. Je vais tout vous expliquer. Ce fut la première fois qu’il avait toute la vérité. Le pasteur resta silencieux quelques secondes, le regard plongeait dans le vide.
Puis il posa une main ferme sur son épaule. Si tu dis vrai, alors ce n’est plus un combat humain, c’est une guerre spirituelle. Lève-toi. Nous n’avons pas le droit d’abandonner ma fille. Trois nuits. Trois nuits de prières violentes, de combats invisibles, de cris, de supplications. Les infirmières disaient avoir vu les machines trembler, les lumières vaciller.
Certains prêtaient même entendre des voix. Julien, brisé, ne quittait pas la porte de la chambre. Et au matin de la 4è nuit, Sonia ouvrit les yeux. faible mais vivante, miraculeusement vivante. Lorsque Sonia ouvrit les yeux ce matin-là, la lumière douce filtrant par la fenêtre semblait irréelle. Pendant une seconde, Julien crut rêver.
Il avait passé trois nuits à prier, pleurer, supplié, rongé par la culpabilité. Voir son visage s’animer à nouveau était une délivrance. Julien, murmura-telle, la voix si faible qu’elle semblait venir d’un autre monde. Il éclata en sanglot. Le pasteur Kanza, les yeux rougis mais victorieux, leva les mains vers le ciel et remercia Dieu dans un long cri de gratitude.
Mais ce n’était que le début. Une fois Sonia stable, le pasteur demanda à Julien de tout lui expliquer lui-même. C’était difficile mais il le fit. La vérité sortie, crue, effrayante, le pacte, les morts, la règle des trois jours, le rôle de monsieur Quaku, la richesse, la peur, la spirale infernale. Sonia, encore faible, l’écouta sans l’interrompre.
Ses yeux s’emplirent de larmes, mais pas seulement de douleur. Il y avait aussi quelque chose d’autre, de la compassion. Tu aurais pu me laisser mourir. Tu aurais pu t’enfuir. Mais tu as choisi de te battre. C’est moi qui t’ai condamné ?” répondit Julien. Non, tu es venu demander de l’aide, c’est que tu n’es plus lié à ce qu’on t’a fait signer.
Le pasteur intervint alors d’une voix ferme. Julien, si tu veux vraiment être libre, il va falloir rompre ce pacte définitivement. Ce genre d’accord ne se brise pas avec des excuses, mais avec un sacrifice personnel et un choix. Julien savait de quel choix il parlait. Deux jours plus tard, Julien retourna à la MA corporation. L’immeuble, habituellement éclatant, semblait plus sombre.
Les employés baissaient les yeux sur son passage comme s’ils savaient ce qui allait se jouer. Dans le bureau du directeur, monsieur Quacu attendait déjà assis, un sourire carnacier accroché aux lèvres. Je savais que tu reviendrais. Tu veux ta richesse ? Tu veux ton salaire ? Julien planta son regard. droit dans le sien.
Je viens rompre le pacte définitivement. Un silence tendu suivi. Puis quoi éclata d’un rire grave, presque inhumain. Personne neuront ce pacte, Julien. Tu m’appartiens déjà. Mais cette fois, Julien n’était plus seul. Derrière lui se tenait le pasteur Kansa, Bible en main, ne reculant devant rien. Le directeur se leva brusquement et l’air sembla se refroidir.
Ses yeux prirent une teinte sombre, presque démoniaque. La pièce trembla. Les tableaux au mur vibrèrent. Un courant glacial envahit les lieux. Sors de mon entreprise, prêtre. Tu n’as aucun pouvoir ici. La vérité libère. Et Julien a choisi la lumière. Ton règne s’arrête aujourd’hui proclama le pasteur d’une voix qui raisonna comme un tonner.
La confrontation fut intense. Une bataille spirituelle invisible mais palpable. Julien tomba à genoux. Le directeur hurla, sa voix déformée. Les vitres se fissurèrent et dans un dernier cri inhumain, monsieur Quacaku s’effondra. Quand tout redevint calme, son corps semblait vide. comme si la chose qu’il animait avait disparu. Julien se releva tremblant.
Il était libre. Julien démissionna renonçant à son salaire, sa voiture, son appartement. En quelques jours, il redevint pauvre. Ses anciens collègues l’évitèrent. Les amis des soirées luxueuses disparurent comme s’il n’avait jamais existé. Mais étrangement, il se sentit plus léger qu’il ne l’avait jamais été. Avec l’aide du pasteur, il trouva un petit studio modeste et s’impliqua dans des actions sociales, distribution de repas, accompagnement des jeunes en difficulté, aide administrative pour les familles du quartier. Chaque action le
reconstruisait. Sonia, de son côté quitta progressivement sa vie de fête. Ce qu’elle avait vécu l’avait transformé. Elle assista au culte de son père, passa du temps avec Julien, appris la patience, la foi, la gratitude. Ils ne se précipitèrent pas dans une relation. Ils prirent le temps de guérir ensemble. Julien avait perdu l’illusion de la richesse, mais il avait gagné la vie, la paix et surtout la possibilité d’aimer sans détruire.
Sonia, sauvé par un miracle, découvrit un sens nouveau à son existence. Ils n’étaient ni riches ni puissants, mais ils étaient libres. Et dans une ville où tant de gens sacrifiaent leur âme pour un peu d’or, cela valait bien plus qu’un salaire de rêve. Julien avait tout perdu. Son poste prestigieux, son argent, son appartement de luxe, les regards envieux qu’on lui lançait quand il traversait l’umumba cité.
Mais en réalité, il avait gagné bien plus. Il avait gagné sa liberté, celle qui ne dépend pas d’un salaire, d’un patron ou d’un pacte maudit. Il avait gagné la paix intérieur, quelque chose qu’aucune voiture ou compte bancaire ne peut acheter. Et surtout, il avait gagné une seconde chance, celle d’aimer sans tuer, d’exister sans honte, de regarder Sonia dans les yeux sans craindre la mort.
Sonia avait changé elle aussi. Elle avait compris que la vie n’était pas un jeu de nuit, d’alcool et de fête permanente. Elle avait frôé la mort, elle avait vu l’ombre et grâce à son père, elle avait aussi vu la lumière. Cette expérience était devenue sa force. Tous deux avaient perdu la richesse matérielle, mais ils avaient gagné une richesse plus rare, celle du cœur, de la foi, de la vérité.

Moral de l’histoire, la richesse n’a de valeur que si elle ne coûte pas ton âme. On peut tout posséder matériellement mais perdre ce qui fait vraiment vivre. Et parfois pour renaître, il faut accepter de perdre ce qui nous détruit même si cela brille. La vraie victoire c’est de se libérer des chaînes qu’on ne voit pas.
La tentation, la peur, la culpabilité, le faux succès. Julien a perdu ce que le monde admire, mais il a gagné ce que personne ne peut lui voler. Et voilà les amis, c’est la fin de l’histoire. Si vous avez aimé cette aventure pleine de mystères, de spiritualité et de rebondissement, n’oubliez surtout pas de mettre un gros like, de vous abonner et d’activer la cloche pour ne rien rater des prochaines histoires.
Dites-moi en commentaire, qu’auriez-vous fait à la place de Julien ? Croyez-vous que certaines richesses ont un prix trop élevé ? Moi en tout cas, je vous retrouve très bientôt pour une nouvelle histoire encore plus incroyable. Prenez soin de vous et surtout restez bénis.
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