Le Séisme de Meloni : Son Plan Secret Qui Menace d’Anéantir l’Autorité de Bruxelles – Même l’AfD est Sidérée !

Đức: Đảng cực hữu AfD lần đầu tiên đề cử ứng viên thủ tướng

Article: Le Séisme de Meloni : Son Plan Secret Qui Menace d’Anéantir l’Autorité de Bruxelles – Même l’AfD est Sidérée !

Un vent de fronde souffle sur l’Europe et son épicentre se trouve, de manière surprenante, à Rome. Au cœur de ce que l’on nomme déjà le « Melonibeben », la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, est en train d’exécuter un plan qui pourrait redessiner les contours du pouvoir européen et mettre à mal la suprématie de Bruxelles. Ses actions, empreintes d’une clarté conservatrice et d’une détermination sans faille, dépassent les attentes les plus audacieuses. La surprise est telle que l’on murmure, même au sein de formations eurosceptiques comme l’AfD en Allemagne, une stupéfaction face à l’audace italienne.

Meloni, souvent cataloguée par certains médias allemands comme « post-fasciste » ou « d’extrême droite », a non seulement déjoué tous les scénarios catastrophes prédits par ses détracteurs, mais a également acquis un respect international en affichant une stabilité et des résultats concrets qui contrastent brutalement avec l’immobilisme perçu dans d’autres capitales. Loin d’avoir précipité l’Italie dans l’autocratie, elle est désormais le symbole d’une politique de souveraineté nationale qui ose affronter de front la bureaucratie bruxelloise. Son message est sans équivoque : « Si la gauche me déteste, je sais que je suis dans le vrai. »

L’Éloge de la Stabilité Face à l’Idéologie

La longévité politique de Giorgia Meloni est en soi une prouesse historique. En poste stable au Palais Chigi depuis trois ans, elle a accompli une véritable sensation dans un pays qui, depuis 1945, a connu soixante-huit gouvernements. Cette stabilité a été le terreau de résultats politiques qui ont pulvérisé les critiques initiales. L’économie italienne affiche une croissance et l’immigration montre des signes de recul, preuve, selon ses partisans, que la « politique bourgeoise » de Meloni est un modèle d’efficacité.

Ce succès est mis en miroir avec la performance de l’Union européenne, que Meloni ne se prive pas de critiquer avec une virulence rare. Pour la cheffe du gouvernement italien, l’UE est devenue « géopolitiquement insignifiante », incapable de réagir efficacement aux véritables défis mondiaux, laissant l’espace d’influence être comblé par des puissances comme la Chine et les États-Unis. Tandis que Bruxelles ne délivrerait que des « mots creux » et des directives bureaucratiques, l’Italie est passée à l’action.

Ce sentiment de trahison ou d’abandon par l’UE résonne au-delà des Alpes. En Allemagne, le pays traditionnellement le plus europhile, seulement 25 % de la population fait encore confiance à l’Union, un chiffre qui plonge encore plus bas concernant le gouvernement fédéral. L’incapacité perçue du chancelier Friedrich Merz à livrer une véritable “inversion de tendance” économique ou migratoire, après l’avoir pourtant annoncée, ne fait qu’alimenter le désenchantement et positionne Meloni en héraut de tous ceux qui se sentent oubliés par l’élite de Bruxelles.

La Double Menace : Commerce Secret et Révolution des Conventions

La Première ministre italienne ne se contente pas de discours. Elle préparerait deux coups fondamentaux, deux « frappes » dont le potentiel de déstabilisation est immense et pourrait véritablement faire éclater l’Union telle qu’elle existe. Ces plans sont une démonstration claire que la souveraineté nationale est une priorité absolue face aux « dictats de la bureaucratie ».

Le premier coup de Meloni est d’ordre commercial et vise directement l’un des piliers de l’UE : la politique commerciale commune. Des informations circulant autour de Donald Trump suggèrent que Meloni préparerait un accord commercial direct avec les États-Unis. Une telle manœuvre serait un affront sans précédent, contournant les règles communes de l’UE et portant un coup frontal à la bureaucratie de Bruxelles. En établissant des ponts directs avec l’ancienne superpuissance, l’Italie ferait cavalier seul, privilégiant ses intérêts nationaux au détriment du consensus européen. Ce serait la première fissure visible et légale dans le bloc commercial européen.

Le second plan est d’une portée politique et humanitaire bien plus vaste : une révision fondamentale de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH). Meloni ne serait pas seule dans cette entreprise. Elle aurait l’intention de s’allier avec au moins neuf autres États, dont la Pologne, l’Autriche et la République tchèque, pour mener cette révolution des conventions. L’objectif avoué est de reprendre le contrôle de leur politique migratoire et de défendre leurs marges de manœuvre nationales face aux interprétations judiciaires qui sont souvent perçues comme contraignantes ou déconnectées des réalités nationales. C’est un signal clair et fort : l’Italie et ses alliés estiment que la souveraineté nationale prime sur les dogmes idéologiques et les diktats de la bureaucratie.

La Crise Allemande et l’Échec de la « Brandmauer »

Watch Giorgia Meloni Expected to Win Italian Election - Bloomberg

Pendant que l’Italie agit, l’Allemagne, traditionnellement le moteur de l’Europe, semble plongée dans une crise de modernisation et d’inaction. Le fossé entre les promesses politiques et les réalités économiques et sociales se creuse. Le système fait face aux coûts colossaux de l’intégration de millions de migrants qui n’apportent pas encore de contributions, tandis que les retraites et les salaires nets de la classe moyenne stagnent ou diminuent.

Ce mécontentement généralisé trouve un écho jusque dans les rangs de la CDU, le parti du Chancelier Merz. Le malaise est illustré par les déclarations publiques, comme celle du chef de district Stefan Kerth dans le Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, qui a qualifié le « mur anti-AfD » (Brandmauer) de « non-sens ». Kerth exige que la CDU examine les conditions d’une coopération pour retrouver sa capacité d’agir, affirmant sans ambages qu’un changement de cap dans la politique migratoire est « difficilement possible sans l’AfD ».

Les actions de Meloni en Italie servent d’exemple de pragmatisme pour ces voix dissidentes. Elles montrent qu’il est possible de défendre la souveraineté et d’établir des règles claires sans s’enliser dans des expériences idéologiques coûteuses. L’Italie ne regarde pas l’Allemagne pour des leçons de morale, mais pour constater l’échec de la « captivité morale » qui empêche, selon eux, le pays d’agir dans l’intérêt de ses citoyens.

Souveraineté Contre Idéologie : L’Enjeu de l’Avenir Européen

En fin de compte, les deux coups de Meloni – le pacte commercial avec les États-Unis et la révision des conventions – sont bien plus que des manœuvres politiques. Ils représentent le point culminant d’une confrontation idéologique qui couve depuis des années au sein de l’UE : la souveraineté nationale face à la centralisation bureaucratique.

L’Italie, en affichant sa stabilité et son succès tout en attaquant frontalement les institutions européennes, devient un phare pour ceux qui réclament plus de contrôle national sur les questions cruciales comme l’immigration, l’économie et la politique étrangère. Meloni démontre qu’il existe une voie pour une politique populaire qui se concentre sur les préoccupations des citoyens : l’emploi, les retraites, et la sécurité de la vie quotidienne.

La question finale qui se pose à l’ensemble du continent, et plus particulièrement à l’Allemagne, est de savoir si elle est capable de se libérer de son propre carcan idéologique et d’agir avec le même pragmatisme que Meloni. Le « Melonibeben » n’est pas seulement un choc pour Bruxelles, c’est un miroir tendu à l’Allemagne, la forçant à se demander si sa peur de l’idéologie est en train de la mener à sa perte. Le sort de l’Europe pourrait bien se jouer sur cette réponse, entre l’audace de la souveraineté italienne et l’inertie de la prudence allemande.