À 74 ans, Frédéric François partage son coin secret dans le Sud où il se ressource loin des scènes

Depuis plus de 50 ans, Frédéric François fait vibrer le cœur de ses fans. Mais quand les projecteurs s’éteignent, l’artiste retrouve son équilibre loin de la scène. À 74 ans, il confie avec pudeur l’existence d’un coin secret, niché dans le Sud de la France, où il aime se ressourcer, entre nature et sérénité.

Frédéric François n’a jamais cessé de chanter l’amour, mais lorsqu’il quitte la scène, c’est un tout autre décor qu’il choisit pour retrouver le sien. À 74 ans, l’icône romantique se livre avec tendresse sur ce lieu préservé, quelque part dans le Sud de la France, où il s’éloigne du tumulte médiatique. Là, entre mer, soleil et discrétion, il se ressource en toute simplicité. Un coin de paradis qui lui permet de faire le vide, de retrouver l’essentiel… et peut-être même, un peu d’inspiration.

Frédéric François dévoile son havre de paix dans le Sud, loin des projecteurs

Un refuge loin des scènes

À 74 ans, Frédéric François ne ralentit pas la cadence. Mais dès que le planning le permet, l’artiste s’évade dans un lieu qu’il chérit : Antibes. Cette ville balnéaire du Sud de la France est bien plus qu’une destination de vacances, c’est un cocon où il se ressource. Là-bas, loin des salles de concert, le chanteur retrouve calme, lumière et chaleur, autant de bienfaits nécessaires pour entretenir l’équilibre d’une vie dédiée à la scène depuis plus de cinquante ans.

Une maison de cœur sous le soleil

Installé depuis des années à Antibes, Frédéric François s’y sent “comme chez lui“. Proche de l’Italie, de Monaco ou encore de Vintimille, cette localisation lui rappelle ses racines siciliennes. Le climat est pour lui un critère essentiel. “Je souffre du froid“, confie-t-il d’après Le Journal des Femmes, préférant les journées baignées de soleil. L’été, il savoure pleinement cette lumière du Sud qui réveille ses souvenirs d’enfance et son inspiration d’artiste. Antibes devient alors une parenthèse méditerranéenne entre deux tournées.

Farniente, piscine et famille

Dans sa villa du Sud, Frédéric François cultive l’art de ne rien faire… ou presque. “Ce que j’adore, c’est me coucher près de la piscine, aller dans l’eau, puis revenir bronzer sur un transat”, raconte-t-il avec le sourire. Ce rythme simple, fait de baignades, de soleil et de silence, contraste avec l’agitation des scènes. Il y retrouve aussi les siens, ses quatre enfants, ses six petits-enfants, et sa femme Monique, avec laquelle il partage plus de 50 ans de vie commune.

Là où chante le soleil Frédéric François trouve refuge dans le Sud

Les balades qui font naître des chansons

En vacances, Frédéric François ne range jamais complètement sa fibre artistique. “Marcher au bord de mer avec les pieds dans l’eau, je trouve ça relaxant”, dit-il. C’est dans ces instants suspendus que des mélodies naissent dans sa tête. La mer devient alors muse, et les pas du chanteur rythment l’écriture intérieure. Ce lien entre nature et musique fait partie de son équilibre. Même en congé, il fredonne, rêve, compose… à l’abri des regards, dans l’intimité de ses pensées.

L’appel de la cuisine méditerranéenne

Les plaisirs de la table ont aussi leur place dans cette parenthèse azuréenne. Le soir venu, Frédéric François aime découvrir les saveurs locales dans les restaurants de la région. Fidèle à ses origines, il succombe aux délices de la cuisine méditerranéenne. Poissons grillés, légumes confits, huile d’olive… pour lui, ces plats ont la chaleur du Sud et la tendresse des souvenirs. Ces moments gourmands partagés en famille participent pleinement à son art de vivre et à son bien-être.

Un coin secret, bientôt quitté ?

Selon France Dimanche, la villa d’Antibes aurait été mise en vente en 2023, pour près de 3 millions d’euros. Une page qui semble vouloir se tourner pour l’artiste, qui s’est aussi séparé de son appartement aux îles Canaries, selon Capital. Pour autant, ce lieu conserve une place à part dans son cœur. Même s’il choisit d’autres horizons, Antibes restera ce refuge où il a su, durant des années, conjuguer sérénité, inspiration et soleil à l’infini.

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Le chanteur a acheté une immense villa luxueuse dans le Sud de la France.

Il a quitté la Normandie pour une splendide propriété ensoleillée, une immense villa de haut luxe dans le style provençal, avec piscine à débordement, pelouse manucurée, salle de cinéma et vue panoramique sur la Méditerranée. Même s’il est né à Paris, Michel Sardou est du Sud et il y revient ! Après avoir vendu son manoir de Normandie où il vivait depuis 15 ans et soldé sa passion des chevaux de course, le chanteur est devenu l’heureux propriétaire de cette maison de prestige du cap Bénat, à Bormes-les-Mimosas, dans le Var. De là, il domine l’île du Levant et celle de Port-Cros, mais aussi le Cap Nègre où il pourra rendre visite au couple Sarkozy/Bruni qu’il compte parmi ses amis. Il réside dans un domaine privé et sécurisé, au calme. On note aussi l’existence d’un petit port privé à proximité pour les excursions en mer. Le choix est parfait, dans un coin recherché où il fait beau 300 jours par an. De quoi lui rappeler son ancienne maison de vacances en Corse.

Bref, Michel Sardou veut s’offrir le soleil garanti pour les prochaines années… quand il se reposera de ses tournées harassantes. Ses parents étaient méridionaux, avec l’accent. Il s’en est souvenu après avoir vécu à Miami, à Megève et près de Deauville. Sa femme s’est occupée de tout, déménagement, formalités, travaux, embellissement. Lui se laisse vivre, comptant sur sa moitié pour aménager leur paradis terrestre. Les photos laissent deviner une maison spacieuse d’un étage, tout en longueur.

Il reste propriétaire d’un appartement dans le 16e arrondissement de Paris, une ville « que je ne reconnais plus », dit-il avec regret, où il ne retourne que pour remplir ses obligations. La villa « La Sorga » l’attend fin mars au terme de sa tournée. De là, il peut contempler son nouveau décor au pied des plages de sable fin et des falaises baignées de lumière, rafraîchi par la pinède. Ces biens d’exception se négocient plusieurs millions d’euros.